… enquête auprès des acteurs impliqués dans les activités de cueillette
Enquête réalisée dans le cadre du projet IMCISE*.
Le questionnaire peut être complété de manière anonyme selon la volonté du répondant. Les résultats de l’enquête seront amenés à être diffusés, mais toutes les données seront systématiquement anonymisées (voir la politique de confidentialité en bas de page).
Objectif général :
Nous cherchons à établir un panorama de la cueillette de la flore sauvage en France métropolitaine (Corse incluse). Pour cela, nous sollicitons les acteurs impliqués dans les activités de cueillette à travers un questionnaire, afin de documenter la diversité des plantes cueillies et des pratiques associées. Le questionnaire est pensé à l’échelle du département, afin de dresser un bilan spatialisé de la cueillette. Les champignons, algues, mousses et lichens sont exclus de cette étude.
Présentation de l’enquête :
La cueillette de plantes sauvages occupe aujourd’hui une place importante, mais souvent méconnue dans notre société. Qu’il s’agisse de notre alimentation, de nos médicaments, de boissons ou encore de produits cosmétiques, les plantes sauvages sont omniprésentes dans notre quotidien ¹. De fait, 60 à 90% des plantes médicinales et aromatiques commercialisées dans le monde sont récoltées à l’état sauvage ². Cependant, les pratiques associées à la cueillette sont mal connues. En France, nous manquons d’une vision générale de ces pratiques. Quelques espèces emblématiques telles que l’arnica, la gentiane jaune ou encore l’ail des ours, sont bien étudiées mais ne représentent qu’une petite partie de la biodiversité totale cueillie ³. En effet, plus de 10% de la flore française serait cueillie à des fins commerciales, soit entre 700 et plus de 1000 espèces selon les sources ⁴.
Nous vous sollicitons, en tant qu’acteurs en lien avec la cueillette, pour réaliser un bilan général de ces pratiques en France métropolitaine (Corse incluse). Pour cela, nous avons constitué un questionnaire à destination des cueilleurs, groupements de cueilleurs, mais aussi des industriels et des acteurs de la gestion de la biodiversité (Espaces Naturels, Conservatoires Botaniques, services de l’État…).
L’objectif est de mieux connaître la diversité des plantes sauvages cueillies et des pratiques associées, dans les départements où vous travaillez. Les résultats de l’étude seront librement disponibles et diffusés dans le cadre du projet IMCISE*.
